La première indication de la colonisation à Crediton est la connaissance qui Winfrith ou Saint Boniface est né ici en c. 672. Il propagea le Christianisme dans le Franque Empire au cours du 8ème siècle, il est le Saint patron de l' Allemagne et des Pays-Bas. En 909 a voir a été créé ici avec Edwulf comme le premier évêque. Neuf évêques plus jugé ici jusqu'en 1050, quand Leofric obtenu l'autorisation du pape Le pape Léon IX de transférer le siège à Exeter, une ville culturellement plus consciente, plus grand et clos de murs. Depuis 1897 Crediton a été le siège d'une suffragant de l'évêché dans le Diocèse d'ExeterDepuis 2004, ce qui a été Robert Evens.

À la Domesday enquête (1086) une grande partie des terres était encore en friche, mais sa prospérité accrue, et en 1269 chacun des douze prébendes de la Collégiale avait une maison et des terres agricoles au sein de la paroisse. Les évêques, à qui appartenait le manoir jusqu'à la Réforme, Avaient des difficultés à faire respecter leurs garenne et autres droits; en 1351 Évêque Grandisson a obtenu une exemplification des jugements de 1282 en déclarant qu'il avait des plaidoyers de withernam, vue de l'engagement de Frank, le potence et Assises du pain et de bière. Deux ans plus tard il ya eu une grave émeute contre l'augmentation des copyhold.

Le jury de l'arrondissement sont mentionnés en 1275, et Crediton réélu deux membres au Parlement durant le règne de Edouard Ier, en 1306-1307, mais il n'a jamais été ensuite représentée à nouveau. Un arrondissement en date du sceau de 1469 est authentique, mais la société n'est pas mentionné dans la concession faite par Edward VI de l'église à douze principaux habitants. Le bourg et le château ont été accordées par Elizabeth I à William Killigrew en 1595, mais il n'y a aucune indication de l'organisation ou de ville puis en 1630, et dans le 18e siècle Crediton était régie par commissaires.

Le commerce de la laine a été créé par 1249 et certainement continué jusqu'en 1630 où le marché des serges est mentionnée en lien avec un dicton aussi beau que la filature Kirton.

Au cours de la Guerre civile anglaise le Comte d'Essex passé par la ville sur 20 Juillet 1644 sur son chemin vers Cornouailles, et évidemment quitté la ville et la campagne environnante dans un certain désarroi Il était suivi de près par Charles I qui sont arrivés dans la ville le 27 Juillet pour examiner l'armée rassemblée par son neveu, Prince Maurice, Avant de retourner à Exeter pour un conseil de guerre. Le dimanche suivant, le Roi a passé la nuit à Crediton puis a commencé son expédition de "Essex-capture". Dans l'hiver de 1645-46, la ville fut utilisé comme base par Thomas Fairfax et le New Model Army d'où ils ont marché sur la Royaliste forces qui se rassemblaient dans le North Devon, et à l'endroit où ils sont revenus le 29 Mars 1646 Après le succès tant au Bataille de Torrington et en renversant le siège de Plymouth.

Sur 14 août 1743 (dimanche matin), un grand incendie a débuté, détruisant complètement High Street et des bâtiments dans le «West Town". A cette période de temps où elle était le deuxième incendie en importance au pays, en second lieu seulement à la Grand incendie de Londres. Seize personnes ont perdu la vie, avec plus de 2.000 sans-abri et 450 maisons détruites. D'autres feux de grande ampleur est survenue en 1766, 1769 et 1772.

La ville est jumelée avec Avranches, France.

Place Patton

La ville d'Avranches se situe sur le littoral sud drtement de la Manche. Elle est bâtie sur une colline face à la baie du Mont-Saint-Michel. Elle a donné son nom à ses alentours, le pays de l'Avranchin.

Elle est limitrophe des communes de Marcey-les Grèves, Saint-Jean-de-la-Haize, Ponts, Saint-Senier-sous-Avranches, Saint-Martin-des-Champs (Manche), Le Val-Saint-Père.

Avranches vient du nom du peuple celte des Abrincates (en latin Abrincatui : formé du mot aber, « estuaire », et catui, « guerriers », ce qui fait des Abrincates « les guerriers des estuaires ») ; la zone littorale que ces Gaulois Abrincates occupent est désignée par le nom Ingena. La ville gallo-romaine est appelée Legedia avant de perdre cette appellation à la fin du Bas-Empire au profit du nom Abrinca issu du peuple dont elle est la capitale ; ce phénomène peut être observé pour de nombreux autres cas : Nantes, Poitiers, Paris, etc.).

Époque contemporaine 

Seconde Guerre mondiale 

Dès le lendemain du débarquement allié du 6 juin 1944, sur les côtes de la Manche et du Calvados, Avranches connaît le sort de dizaines de villes normandes. De violents bombardements, ayant pour but de couper la route aux renforts allemands, plongent la ville dans le chaos. Des tracts alliés ont été lâchés au-dessus de la région d’Avranches quelques jours avant le 6 juin, invitant les habitants « à s’éloigner pendant quelques jours » et à « se disperser dans la campagne, autant que possible », mais sans véritablement convaincre la population. Le mercredi 7 juin, vers 14 heures 30, une escadrille de six bombardiers alliés déverse sur Avranches son funeste chargement ; dans l’espace d’une heure trois vagues meurtrières anéantissent plusieurs secteurs de la ville : la gare, la rue Louis Millet, la rue d’Orléans, la vieille ville, la rue des Fontaines Couvertes et d’autres encore sont frappées de plein fouet. Des incendies ravagent la ville en divers points et les pompiers, mal équipés, sont impuissants face à l’ampleur des destructions ; les bombes ont éventré les conduites d’eau et très vite les pompes sont inopérantes. Malgré les renforts des pompiers de Ducey et Sartilly, arrivés vers 22 heures, qui parviennent à acheminer l’eau de la citerne des Halles jusqu’à la place Littré, les flammes se propagent d’immeuble en immeuble, inexorablement. Dans la soirée, les toitures de l’église Notre-Dame-des-Champs sont atteintes par l’incendie des maisons de la rue du jardin des plantes. Immédiatement après les premiers impacts, les secours se sont organisés pour tenter de soigner les blessés. Mais déjà, en fin de journée, on compte plus de 80 victimes civiles. De nouveaux bombardements de produisent les jours suivant augmentant encore un bilan qui ne cessera de s’alourdir jusqu’à la libération d’Avranches à la fin du mois de juillet.